Lesquels s'apparenteraient, selon les experts mandatés par Loyola de Palacio (commissaire aux Transports), à une aide d'État illégale. Or, une partie de la somme en cause (140 M€) a déjà été libérée sous forme de crédits relais accordés aux filiales française, allemande et néerlandaise. Bruxelles pourrait dans la foulée se pencher sur les précédents transferts de fonds opérés entre les deux structures ainsi que sur les conditions de rachat des entreprises qui constituent aujourd'hui ABX. En attendant que lui soit notifié le lancement de cette investigation, la direction du groupe se veut confiante. Au quotidien La Libre Belgique, le porte-parole a ainsi déclaré que cette décision « ne sera qu'une étape dans la procédure qui ne présage en rien de l'issue finale ».
Publiée au Journal Officiel des Communautés Européennes, cette ouverture d'enquête permettra en tout cas à quiconque, et en particulier aux concurrents
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