C'est ce qu'a annoncé la direction du groupe le 6 mai, après deux semaines de négociations (L'OT 2213). En Allemagne, le Britannique (CA 2002 de 835,3 M£ soit 1,185 Md€) a fait les frais de la mauvaise conjoncture économique et de la stagnation des contrats logistiques. Et le plan de restructuration mis en place l'an passé - fermeture de 4 sites assortie de 200 licenciements - n'a pas permis de redresser la barre. Résultat : la filiale allemande, déficitaire depuis 3 ans, a de nouveau accusé, en 2002, une perte de 5,2 M£ (7,38 M€) pour un chiffre d'affaires de 45,9 M£ (65,16 M€). Sans réelle perspective d'amélioration, elle n'a pas réussi à trouver repreneur. Pour éviter un arrêt brutal de l'activité qui lui aurait coûté quelque 15 M£ (21,29 M€), le groupe a donc préféré vendre l'entité à ses cadres.
L'opération, qui sera finalisée avant fin mai, devrait générer une charge exceptionnelle de 9,6 M£ (13,63 M€) en 2
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