- Votre maison mère, le Britannique Christian Salvesen, a accusé un lourd déficit sur le dernier exercice (L'OT 2221). Qu'en est-il pour Darfeuille?
La contre-performance du groupe ne nous concerne pas. Sur l'exercice 2002-2003 (clos au 31 mars), Darfeuille (1 500 salariés, 800 moteurs) a réalisé un chiffre d'affaires de 160 millions d'euros, en hausse de 12 %. Et la rentabilité a suivi : nous enregistrons un résultat brut de 5 %. Ce qui nous a permis de financer notre développement. En trois ans, nous avons agrandi ou modernisé 12 de nos 20 plates-formes de groupage.
- Quelles sont les perspectives pour 2003-2004 ?
Le 1er trimestre de notre exercice, d'avril à juin, a été légèrement supérieur à l'année dernière. Nous tablons donc cette fois encore sur une croissance de 12 %. Nous misons notamment sur la logistique de proximité, une activité que nous proposons depuis début 2003 et qui a connu un bon démarrage. Sur les 15 000 m2 construits à Andrézieux Bouthéon, 10 000 m2 ont été loués à des clients industriels, qui souhaitaient stocker de petits volumes. Nous continuons également de développer en parallèle nos métiers de groupage industriel (75 % du C
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