Il répondait ainsi aux inquiétudes exprimées par Huguette Ambroise, P-dg de l'entreprise, quant à la pérennité du pavillon français : « Je forme le voeu qu'il ne nous soit pas réservé le même sort que la marine marchande. L'international ne représente plus aujourd'hui que 45 % de mon chiffre d'affaires contre 75 % il y a dix ans. Lors de mes déplacements commerciaux en Europe de l'Ouest, je constate que, petit à petit, certains marchés nous échappent ». Et Huguette Ambroise, dont le groupe emploie 230 personnes et possède un parc de 170 véhicules, de déplorer : « Nous poursuivons notre croissance parce que nous avons toujours essayé de bien réagir. Mais comme les autres, nous nous replions aujourd'hui sur la France. Nous prenons des parts de marché à
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