Galileo sort de l'impasse

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Après plusieurs mois d'immobilisme (L'OT 2213), le programme européen de radionavigation Galileo a franchi un pas décisif, le 26 mai.

Les pays membres de l'ESA (Agence spatiale européenne) se sont en effet accordés sur le montant de leurs participations financières respectives. L'Espagne, qui souhaitait porter sa « mise » à 11 % contre les 9,5 % proposés, a finalement cédé à 10 %. La France, l'Allemagne, l'Italie et le Royaume Uni - les plus gros contributeurs au projet - acceptant pour leur part de rabattre quelque peu leurs prétentions, initialement fixées à 17,5 %. Par ailleurs, les partenaires - les Quinze de l'Union européenne moins la Grèce et le Luxembourg, mais plus la Suisse et la Norvège - ont trouvé un accord concernant la mise en place de l'entité commune (financée à 50/50 par l'ESA et l'U.E.) qui, basée à Bruxelles, sera chargée de piloter le programme. De quoi donner un coup d'accélérateur à Galileo, destiné à concurrencer le GPS américain avant la fin de la décennie, alors que le lancement de sa phase de développement (construction des composants terrestres et des trois premiers satellites, mis

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