Il réagit ainsi à la procédure d'enquête ouverte par la Commission européenne, le 30 avril, sur les versements effectués par l'Etat français à cette dernière société (L'OT 2214). La décision bruxelloise rendrait en effet caduc le protocole signé le 21 décembre 2001 et régissant le transfert de ces 15 % de la SNCF vers Geodis. Lequel ne renonce toutefois pas complètement. Pierre Blayau se dit prêt à engager un nouvel accord car toujours « intéressé à détenir, comme initialement prévu, 51 % du Sernam redressé, en 2006, selon les critères fixés par le protocole du 21 décembre ». Ce « dès lors que les conclusions de la procédure d'enquête seraient positives ».
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