La période d'observation du groupe Bils Deroo (59) a été prolongée jusqu'à fin août (L'OT 2217). Votre offre de reprise est-elle maintenue ?
Le plan de continuation présenté par la famille Bils étant sans doute assez compliqué, le tribunal de commerce lui laisse du temps pour « revoir sa copie ». Mais ce nouveau sursis ne nous paraît pas être une bonne chose car la situation a déjà beaucoup traîné. Nous restons toutefois intéressés par le rachat d'une partie de Bils Deroo (L'OT 2207, N.D.L.R.). Nous continuons d'ailleurs à surveiller de près si les clients du groupe le suivent toujours.
Quels arguments mettez-vous en avant pour défendre votre candidature devant le tribunal de commerce de Douai ?
Nous disposons d'une solide assise financière : la banque Lazare est actionnaire à hauteur de 44,2 %. Nous connaissons en outre le transport de par notre partenariat avec La Flèche Cavaillonnaise, qui détient 27,6 % de notre capital. Nous nous appuyons pour l'instant sur ses moyens dans le sud de la France, le reste étant sous-traité. Bils Deroo serait donc très complémentaire pour couvrir la partie nord de l'Hexagone. Il nous permettrait aussi de nous positionne
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