«Il n'est absolument pas question pour la Société nationale des chemins de fer belges de lâcher ou de laisser disparaître ABX France », clame Laurent Levaux. Président d'ABX Logistics Worldwide depuis mars 2002, celui-ci espère au contraire voir cette filiale française de la SNCB dégager un résultat opérationnel positif « courant 2004 ». « Les aléas conjoncturels ne nous permettent pas d'être plus précis », avoue-t-il. Selon d'autres sources (tout aussi fiables), l'actionnaire d'ABX France (alias la SNCB donc l'Etat belge), garantit son soutien financier total sous réserve que le redressement de l'entreprise soit rapide et que celle-ci soit à l'équilibre fin 2004.
Or, en 2002, elle a accusé un déficit de quelque 80 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 560 M€ (en baisse de 11 %). Inquiétant ? « Non, si on considère que
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