Ses résultats nets avant et après survaleurs chutent, aussi, de respectivement 51,4 % (à 5,1 M€) et 64,7 % (3 M€). Seul l'excédent brut d'exploitation (EBE) progresse de 1,7 % pour s'établir à 77,9 M€. Le loueur a notamment fait les frais, sur les six premiers mois de l'année, de la hausse des primes d'assurance et des surcoûts liés à la mise en place d'un nouveau système d'information. « Après un 1er semestre décevant, la rentabilité du 2e semestre est en amélioration », affirme toutefois la direction de l'entreprise dans un communiqué du 3 avril. Petit Forestier se veut rassurant mais ces propos suffiront-ils à freiner la dégringolade de son titre sur le second marché de la Bourse de Paris ? Déjà après l'annonce des résultats du 1er semestre 2002, l'action avait accusé le coup, chutant de plus de 50 % en six mois (L'OT 2203). Du 4 mars au 5 avril, elle a encore perdu 18,2 %, passant de 19,5 € à 16,5 €. Pour 2003, le groupe assure en
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?