Les combats de l'ATMD

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« Les progrès liés à la sécurité doivent être réalistes et ne pas porter atteinte à notre compétitivité vis-à-vis de la concurrence étrangère », plaide Alain Monnier, président de l'ATMD réunie en assemblée générale le 18 juin.

Bien qu'ouverte aux nécessaires évolutions réglementaires, l'Association française du transport routier de matières dangereuses en a assez « des contraintes surabondantes qui s'ajoutent à l'existant ». Ce souci l'a conduite à proposer des modifications au projet de loi sur la prévention des risques technologiques (adoptée en première lecture à l'Assemblée nationale, cette législation devrait entrer en vigueur au 1er janvier 2004). Ainsi, elle s'est opposée à l'obligation faite aux transporteurs, via leurs représentants du personnel, de siéger dans les comités d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail en place dans les sites classés Seveso II. Une mesure qui aurait notablement pesé sur les temps de délégation. La version actuelle du texte limite cette représentation aux seules entreprises qui effectuent des opérations de manutention dans ces installations et l'écarte pour ceux qui se

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