C'est en tout cas ce que craignent les syndicats représentés au sein de l'entreprise. Dans une position commune diffusée aux salariés le 18 mars, FO, la CFTC, la CGT, la CFDT, la FNCR et la CFE-CGC affirment : « même si la logistique passe le cap de la vente sans trop de dégâts, il n'en sera pas de même pour le transport où certains directeurs ont d'ores et déjà annoncé qu'ils allaient racheter certains sites sous forme de filiales et que des plans sociaux étaient prévus (contrairement aux dires de Xavier Urbain, président de Hays Logistique France) ». Les six organisations déplorent une « guerre psychologique » exercée auprès de certains salariés afin de les pousser à démissionner ou à signer des documents par lesquels ils renoncent à certains de leurs acquis. Elles recommandent de ne pas céder à ces pressions mais également de « ne pas déclencher de grèves locales spontanées et irréfléchies qui ne feraient que précipiter la fin de c
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