- Pourquoi avez-vous acquis le Lardin Services, ancienne filiale du groupe Munster (rachetée à Vialle en avril 2002) cédée à son gérant puis placée en redressement judiciaire en mai 2003 ?
Notre objectif est d'étendre notre couverture géographique aux départements périphériques à la Dordogne. Nous comptons y développer nos activités de groupage technique et messagerie industrielle. C'est pourquoi nous avons repris les 24 salariés, les 20 ensembles routiers et les bâtiments situés au Lardin (24). Cette opération a été finalisée le 6 août par le tribunal de commerce de Périgueux.
- Comment le personnel a-t-il accueilli l'arrivée d'un nouvel actionnaire ?
Les salariés sont déstabilisés en raison des nombreux et récents changements. Nous avons donc réalisé, avant la reprise, un gros travail de communication. Le message était clair : nous souhaitions rompre avec l'ancien fonctionnement. A l'époque où l'entreprise appartenait à Vialle, les conducteurs habitaient loin du siège, ce qui entraînait un problème de retour des véhicules. Quatorze personnes, qui n'ont pas accepté notre réorganisation, ont préféré quitter la société.
- Après cette opéra
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