L'objectif de cette mesure entrée en vigueur le 9 janvier est de fluidifier le trafic sur l'ouvrage aquitain qui fait l'objet de travaux de rénovation prévus jusqu'en 2004. Pour accéder au bassin de fret de Bassens, où près de 1 000 poids lourds transitent chaque jour, les véhicules sont obligés d'emprunter soit l'échangeur de Saint-Vincent-de-Paul - ce qui correspond à un détour de 14 km - pour rejoindre la rive gauche de la Garonne, soit de traverser les communes de Saint-Loubès, de Saint-Sulpice et d'Izon (D242) pour regagner la N89 menant à l'autre rive. Leur trajet se rallonge alors d'une heure. En outre, « la traversée des villages pose des problèmes de sécurité, observe Maïté Goulenok, déléguée régionale Aquitaine de la Fédération nationale des transports routiers. A Saint-Loubès par exemple, la route n'est pas assez large pour que deux poids lourds se croisent. Nous souhaitons que les maires concernés se concerte
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