Un nom encombrant

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« Alphatrans, devenue Bailly & Rhéty Alphatrans en mai 2001, va très bien et n'est absolument pas concernée par les problèmes qui ont conduit à la liquidation de Bailly & Rhéty SA (cf. L'OT 2208, N.D.L.R.) », tient à préciser Jean-Paul Téolis, gérant de la première entreprise et ancien administrateur de la seconde.

« J'ai renoncé à ce mandat en décembre 2002 lorsque j'ai constaté la gestion déplorable menée dans cette société qui a souffert de l'absence d'un véritable manager et d'un service commercial performant », explique-t-il. Jean-Paul Téolis souligne en outre : « les procédures de licenciement et les plaintes déposées contre deux des salariés de Bailly & Rhéty SA n'impliquent pas que ceux-ci aient été coupables de quoi que ce soit. Ils ont d'ailleurs ouvert un recours pour licenciement abusif devant les prud'hommes. Détournement de fonds de commerce et dépenses inconsidérées, il y a eu. Mais pas forcément de la part de ces deux personnes ». Basée à L'Etrat (42), Bailly & Rhéty Alphatrans a dégagé 31 K€ de bénéfice d'exploitation pour un chiffre d'affaires de 2 M€ en 2002. Elle n'a e

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