Entre ozone et mise à quai

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Les deux évolutions mises en valeur à Lyon avaient des objectifs diamétralement opposés. D'abord la couche d'ozone, percée par les émanations des gaz CFC et HCFC : de nouveaux matériaux isolants seront en service dans quelques mois. Ensuite, beaucoup plus terre à terre, si l'on peut dire, les cadres arrière malmenés par les mises à quai répétées. Côté sécurité l'électronique permet des systèmes anti-renversement autonomes.

L'interdiction des gaz servant à l'expansion des mousses, à partir du 1er janvier 2004, est le fait d'une directive européenne (CE n°2037/ 2000) née du protocole de Kyoto. Elle a obligé les industriels à rechercher d'autres mousses, aussi performantes. Tandis que la croissance de la messagerie froid avec des mises à quai fréquentes en entrepôts ou plate-formes avec des conducteurs manquant d'expérience, entraînait une révision de la structure arrière des fourgons.

Objectifs atteints chez Chéreau qui a mis en route une nouvelle unité de production pour son Inogam dont la structure du cadre arrière est complètement nouvelle, avec des panneaux mousses sans CFC et avec des options inédites comme, par exemple,

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