On protège ses arrières

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Les barres anti-encastrement arrière ont beaucoup fait parler à Lyon, sans occulter cependant l'effort de polyvalence réalisé par de nombreux constructeurs lors de la conception de leur benne.

Le problème de la barre anti-encastrement - rendue obligatoire sur les véhicules de travaux publics par la Directive 2000/8/CE - est son retrait au moment du bennage, à l'accostage du finisher ou pendant la manutention d'un caisson déposable. L'unanimité s'est faite sur la maîtrise d'oeuvre, c'est le carrossier qui connaît la mission précise du châssis d'assurer le montage. Quant à la manière, les différentes solutions pour éclipser temporairement la barre, étaient visibles à Lyon. Au-delà des versions à articulation simple que l'on verrouille en position haute ou basse, nous retiendrons le modèle à bras repliables présenté par l'équipementier Pommier, oblique ou horizontal pour les grands débattements, avec assistance par vérins à gaz. Tous les modèles Pommier ont fait l'objet d'une réception par type auprès de l'Utac. Le prix public s'échelonne de 800 à 900 euros. Plus sophistiquée mais plus chère (2500 € environ) une bar

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