Le ralentissement général des trafics touche de plein fouet les entreprises exploitant des véhicules de moins de 3,5 tonnes. Des sous-traitants que messagers, expressistes et monocolistes utilisent comme une variable d'ajustement économique : ils y ont moins recours et font pression sur les prix dès que l'activité faiblit. Il est, dans un tel contexte, plus tentant pour eux de faire abstraction des garde-fous et d'oublier les bonnes résolutions. Alors après plus d'un an de morosité, quels enseignements ont-ils tirés des nombreuses affaires de requalification en contrat de travail ? Quelle est aujourd'hui la portée du contrat type sous-traitance ? « Nous avons constaté une évolution, mais pas vraiment une amélioration », indique Florence Berthelot, responsable
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?