Rail-route, le grand perdant

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Fin avril, la Commission a donné son feu vert au régime français à l'exploitation de services réguliers de transport combiné de marchandises alternatifs à la route. Les bénéficiaires seront les opérateurs de services de transport combiné sur la base du nombre de transbordements réalisés sur le territoire français. Le régime sera en vigueur pendant la période 2003-2007 avec un budget annuel compris entre 30 et 40 M€. Explications.

Dénoncées par Bruxelles, les aides à l'exploitation apportées par l'Etat jusqu'en 2002 à la SNCF, n'a pas suffit pour rendre attractif le combiné rail-route. Et il est à craindre que la nouvelle mouture du régime d'aide n'aboutisse au même résultat. S'attachant à réduire le handicap que constitue les ruptures de charge par rapport à un transport routier porte-à-porte, le nouveau régime d'aides apparaît en effet comme un camouflet pour les rail routiers. De l'ordre de 35 M€, le montant de l'aide budgétée en 2003 concerne l'ensemble des transports combinés - conjuguant la route avec la voie d'eau, le transport maritime et le rail - et non plus seulement le ferroutage. Une nouvelle gifle après la rédu

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