Il sert d'ailleurs toujours de devise au royaume belge. Mais dans le royaume du transport routier français, il en va tout autrement. L'adversité est bel et bien là. La concurrence internationale se fait tous les jours de plus en plus dure et le pavillon français ne cesse de perdre des parts de marché. Une situation qui aurait dû naturellement engendrer un front uni de la part des organisations professionnelles. Le combat nécessite en effet le rassemblement de toutes les énergies et des bonnes idées, à l'image de ce qui s'était produit au début des années quatre-vingt dix avec le lancement du contrat de progrès. Mais ce rêve pourtant accessible, n'a pas franchi le cap des traditionnelles mesquineries entre organisations professionnelles. Avec d'un côté, la FNTR qui invite Gilles de Robien à visiter une entreprise de la Somme, afin de dévoiler les mesures que compte prendre le gouvernement pour défendre le pavillon français. Et de l'autre côté, le reste des organisations (TLF, Unostra, Otre), auquel s'est jointe l'Aft
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