En y glissant une étiquette en papier sur laquelle est apposée une puce électronique aussi grosse qu'une tête d'épingle. Développée par la société Neopost NBG, fournisseur de systèmes logistiques, cette technologie « sans contact » baptisée RFID (Radio Frequency Identification) vient d'être lancée par DHL Fashion France (45 M€ de CA). Dès leur arrivée à l'entrepôt, chemises et pantalons « pucés » sont suspendus sur un rail puis passent sous un portique, à une vitesse de deux mètres par seconde. Lors de leur passage, les vêtements sont identifiés un à un par radio fréquence. L'opérateur peut ensuite lire l'historique du produit contenu dans la puce : modèle, taille, coloris, mode de transport, date, numéro de colis, soit 64 fois plus de données que sur un code barre classique. Ces informations peuvent être modifié ou cryptée par chacun des acteurs de la chaîne d'approvisionnement via un logiciel dédié. Les manutentionnaires n'ont donc plus besoin de recourir à la douchette du scanner pour li
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