Des transporteurs prennent les devants

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Voulant réduire les coûts de gestion de leurs parcs surabondants, les constructeurs font très attention à l'état des camions qu'on leur rend au terme des locations financières. L'expertise contradictoire devient la clé de voûte du dispositif. Dans cette optique et pour éviter les litiges, des transporteurs se donnent des garanties et organisent la préparation des véhicules avant restitution.

Ils ne veulent plus fermer les yeux ! Face aux retours massifs des véhicules loués avec « buy back » (2500 en 2002 et 2003 chez Volvo ; 4200 en 2003 chez Renault Trucks ; entre 200 et 300 par an chez Man, 500 en 2003 chez Scania...), les constructeurs VI sont vigilants sur l'état des camions rendus (quasi exclusivement des tracteurs 4x2). Les restitutions sont soumises à expertise approfondie et, si la remise en état demande trop de travaux, le coût risque d'en être imputé au transporteur. « Depuis quelques mois, nous gérons le pic des retours des "buy back". Nous ne pouvons plus rentrer des véhicules fortement dépréciés, trop kilométrés, et supporter le coût des remises en état sans rien faire », dit-on chez Renault Trucks, au service v�

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