Continuer coûte que coûte ou abandonner le métier ? C'est la question qui taraude bon nombre d'entreprises actives dans le transport d'animaux vivants. Et ces spécialistes n'ont pas fini de s'interroger. Déjà frappés de plein fouet par les crises de la vache folle et de la fièvre aphteuse et pénalisés par des contraintes réglementaires drastiques, ils sont menacés par un probable renforcement des normes européennes. Encore une fois, Bruxelles s'attaque aux trajets « longue distance » de plus de 9 heures, jugés les plus stressants pour les bovins, ovins, caprins et autres porcins. Et même si le projet de règlement, dont l'entrée en vigueur est prévue en 2006, ne fait l'objet pour l'instant que de discussions, les professionnels s'inquiètent. Les transporteurs de bétail s'adapteront-ils à une nouvelle législation ? Réponses.
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?