Ainsi, l'année dernière, sur les quelque 1,3 million de contrôles effectués par les DRIRE, 13 % des véhicules ont dû se présenter à un nouveau contrôle. Des défauts sur les organes de sécurité (freins, éclairages), la signalisation et le châssis ont été les principales causes de rejets des véhicules industriels. «L'âge du véhicule ne rentre pas vraiment en compte pour expliquer ces chiffres. Les entreprises de transport ont maintenant pour préoccupation de faire tourner au maximum leurs ensembles routiers, soumettant ainsi leurs mécaniques à rude épreuve» commente un responsable de la DRIRE d'Ile de France qui a effectué 120 000 contrôles l'année dernière et constaté une même moyenne de rejet. «La quasi totalité des véhicules, une fois la réparation effectuée, passent généralement le second contrôle avec succès, faute de quoi ils n'auraient pas le droit d
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