En contrepartie, l'entreprise ferroviaire pourrait recapitaliser son ancien service messagerie à hauteur de 270 millions d'euros (environ 1,8 MdF). Un montant qui correspond grosso modo aux pertes que le Sernam devrait cumuler sur les exercices 2000, 2001 et 2002. « Nous sommes en discussions avancées avec la SNCF pour élaborer un schéma nouveau, qui se démarque fortement de celui initialement prévu », admet Pierre Blayau, Pdg de Geodis. En avril 2000, le protocole d'accord signé entre Geodis et le Sernam, prévoyait que le premier entre à hauteur de 60 % dans le capital du second. Au terme d'une période transitoire de 4 ans, Geodis devait porter sa part à 100 %. Faute d'avoir obtenu à temps le feu vert de la Commission européenne, l'accord est devenu caduc le 30 juin dernier, date où il arrivait à échéance. « Depuis, la situation économique a changé. Geodis a modifié ses orientations et le Sernam est resté
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