Ce qui représente une progression d'activité de 13,4 % à périmètre comparable par rapport à 1999 - et de 3 % en tenant compte de la cession à La Poste des 179 MF de chiffre d'affaires de DPD-. « Nos équilibres financiers - 43,7 MF de marge brute d'autofinancement, 24,8 MF d'investissements et un ratio d'endettement d'à peine 18 % - reflètent la capacité du groupe à faire face à tout besoin de mobiliser des capitaux », souligne Jean Schmitt, P-dg d'Heppner. En 2001, le groupe alsacien entend améliorer encore sa rentabilité en particulier en messagerie nationale. Pour cela, « un véritable chantier de reconstruction et de revalorisation du métier » a été entrepris. Avec l'appui d'une « équipe commerciale renforcée » et « de systèmes d'informations performants », Heppner veut désormais « élaborer une réponse adéquate aux besoins exprimés par le client et chiffrer correctement le coût des différents services ». Faute d'être suffisa
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