C'est en tout cas ce qu'affirmait le quotidien Les Échos (le 18/10/02). Explication : « la SNCF aurait refusé de céder à certaines exigences concernant notamment un droit de préemption sur les titres qu'elle détenait ». Alors que côté Bolloré, on se refuse à tout commentaire, côté Geodis on assure : « le principe d'une augmentation de capital n'est pas remis en cause. L'opération est en voie de finalisation et reportée à un prochain conseil d'administration dont la date n'a pas encore été fixée ». L'atermoiement de cette recapitalisation (de l'ordre de 50 à 60 M€), annoncée comme imminente depuis le début de l'année, semble donner raison aux syndicats de salariés fort inquiets de voir arriver l'actionnaire Bolloré (L'OT 2184).
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