«Le libéralisme non contrôlé est un facteur puissant de dégradation de la compétitivité européenne », soutient René Petit, président de la Fédération nationale des transports routiers (FNTR) réunie en congrès les 1er et 2 octobre. « Il faut corriger ces errances en fixant les règles du jeu par voie réglementaire et non de directive ». Un principe qui, selon lui, pourrait trouver sa première application avec une définition communautaire du cabotage. Par un arrêt rendu en juillet (L'OT 2179-80), la Cour européenne de justice « semble rejeter le caractère nécessairement temporaire du cabotage et admet la gestion de fait d'une entreprise depuis un pays autre que son siège », relève en effet René Petit. D'autre part, le Co
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