« Nous avons profité de la stabilité du coût du carburant et de la détente des taux d'intérêts. La standardisation des process d'exploitation et une sélection plus fine des clients nous ont aussi permis d'améliorer la productivité », se félicite Francis Lemor, P-dg de Stef-TFE. Et ce malgré la forte augmentation des primes d'assurance (estimée à 5 M€ sur l'année) et les surcoûts sociaux. Le groupe de transport sous température dirigée a, en effet, anticipé la revalorisation des heures de nuit, qui a engendré une hausse de 4,3 % des frais de personnel. « Ce qui s'explique aussi par notre volonté de limiter les contrats intérimaires au profit des CDI », précise Francis Lemor.
Si les résultats dégagés par Stef-TFE ont nettement progressé, son chiffre d'affaires semestriel n'a lui augmenté que de 1,8 % à périmètre constant, pour s'établir à 585,2 millions d'euros. Responsable : la relative stabilité des activité
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