FAIRE OU FAIRE FAIRE ?

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En dépit des contraintes nées avec l’écotaxe, les schémas logistiques incluant une part de compte propre ne sont pas remis en cause. Courte distance, logistique urbaine, maîtrise de la relation-client, matériels spécifiques sont autant de raisons avancées pour garder la main sur une fonction transport jugée stratégique.

Sur les huit dernières années, la part du compte propre est stable en France. Elle se situe entre 15 et près de 18 % depuis les années 2010. « Ses faibles fluctuations en t-km sont l’effet des conjonctures économiques. Quant à l’augmentation récente observée, elle est due principalement au tassement de l’activité du transport routier de marchandises pour compte d’autrui », note Christian Rose de l’AUTF. Ce constat vaut pour 2012 où le compte propre a accusé un repli de 9,3 %. Au-delà des chiffres, cette stabilité semble démontrer que le compte propre a atteint un seuil après de grandes vagues d’externalisation au lendemain de la fin du contingentement des licences en 1986, puis de l’abandon de la tarification routière obligatoire en 1989. « Complétées par de la sous-traitance, la taille

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