Depuis le début 2002, nous faisons face à une baisse des volumes pour l'ensemble des marchandises que nous transportons, des déchets de métaux au charbon en passant par les céréales. Après deux années soutenues, l'activité est revenue à un niveau plus « normal », ce qui a nécessité de réadapter nos moyens. Nous faisons donc moins appel à l'affrètement, qui représente habituellement entre 10 et 15 % de notre chiffre d'affaires. Notre appartenance au réseau France Benne nous a, en outre, permis de compenser le ralentissement par le biais d'échanges de fret avec les autres adhérents du groupement. Pour la reprise, il faudra sans doute attendre le mois de septembre au mieux, en raison notamment de l'attentisme dû à la période électorale.
Au niveau des coûts, nous subissons une hausse des charges sociales suite aux revalorisations salariales de novembre et janvier. Pour le renouvellement de notre parc, soit 7 véhicules en 2002, nous nous attendons à une augmentation des tarifs de vente. Mais nous sommes davantage inquiets pour 2003. Nous ressentirons alors les effets de la diminution du remboursement d
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