En 2000, notre activité de distribution de marchandises générales (36 véhicules) sur les régions Rhône-Alpes et Auvergne a souffert des surcoûts liés à la flambée du prix du gazole et à l'aménagement du temps de travail pour les conducteurs et le personnel sédentaire (hausse de 6 % de la masse salariale). Des charges supplémentaires que nous n'avons pas réussi à répercuter immédiatement. Sur l'exercice 1999-2000 (clôturé au 31 août), nous avons donc enregistré une perte financière de 1 % pour un chiffre d'affaires de 44,5 millions de francs, en progression de 9,2 %.
En janvier dernier, nous avons heureusement obtenu une revalorisation tarifaire comprise entre 3 % et 5 %. Nous espérons ainsi revenir à l'équilibre sur l'exercice 2000-2001, en privilégiant la rentabilité à la croissance des volumes. C'est pourquoi nous avons d'ores et déjà stoppé certains trafics pour lesquels la marge était insuffisante.
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