Quelles seront vos premières actions au sein de l'Unostra que vous présidez depuis le 16 janvier ?
Mon élection intervient à un bon moment pour jouer la réconciliation au sein de l'organisation. Mon premier souci sera donc d'opérer une remise en ordre interne et de jeter les bases d'un travail en équipe. D'où la présence à mes côtés de Catherine Pons, vice-présidente de l'Union Bourgogne-Franche Comté. Nous ne toucherons pas aux structures, mais revisiterons les statuts afin d'ouvrir le conseil d'administration. Un collaborateur sera chargé de développer et redynamiser les régions et une commission "entreposage" créée.
Sur quels gros dossiers vous pencherez-vous en priorité ?
La récupération de la TIPP sur le gazole, bien sûr, mais aussi la suppression de la taxe professionnelle qui créé un différentiel de 10 % par rapport aux entreprises espagnoles. Et de combien, demain, avec les Pays d'Europe centrale et orientale ? L'harmonisation des charges sociales me semble un impératif. Le dossier du transport combiné a été poussé par mon prédécesseur. Bien que fervent partisan du rail-route, je me refuse à engager les professionnels dans cette voie sans gara
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