Les fers de lance

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Les prestataires logistiques semblent préférer les chariots traditionnels à mât rétractable. Ils sont plus maniables que les tri directionnels, et en cas de panne, plus faciles à réparer ou à remplacer. Si les chariots sophistiqués ou bourrés d'électronique ne font pas l'unanimité, ils répondent, dans certains cas, à des besoins spécifiques. Notamment en matière de sécurité. Quelques exemples témoins de l'évolution du marché.

Le chariot est le fer de lance du prestataire logistique. Il doit être maniable, sûr, et bien répondre aux contraintes de son exploitant. « Nous privilégions les machines traditionnelles plutôt que les appareils sophistiqués, et en particulier, les chariots à mât rétractables plutôt que les tri directionnels », déclare Hervé Lehembre, directeur ingénierie et exploitation de Giraud Logistics . Les tri directionnels ont l'avantage de lever leur charge jusqu'à des hauteurs de 15-18 m, contre 11-12 m pour les véhicules classiques, et donc de permettre un fort remplissage en entrepôt. Mais ils présentent aussi de graves inconvénients. En cas de panne, ils sont difficiles à réparer, les agents de maintenance

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