Craignant que le Mont Blanc ne soit pas rouvert avant le printemps « pour des raisons électorales », les syndicats de transporteurs italiens (réunis au sein de la confédération Conftrasporto) dénoncent, selon l'Agence France Presse, « l'obstination de la France » et plus généralement « la bureaucratie, le protectionnisme éclatant et l'environnementalisme de façade qui gênent le trafic de marchandises en provenance et arrivant en Italie ». Un reproche auquel fait écho la Confindustria, confédération nationale des patrons italiens, qui estime à 516 millions d'euros les pertes dues à la fermeture du tunnel savoyard. Le 16 janvier, Pietro Lunardi, ministre des Transports, s'est lui même déclaré « las » de
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