Un communiqué du ministère des Transports français annonçait pourtant, le 22 mars, le retour des véhicules jusqu'à 19 t dans l'ouvrage savoyard à la date du 25 mars, échéance fixée par l'accord de Livourne du 15 février (cf. L'OT 2162). Une limitation contestée par les pouvoirs publics italiens qui, excédés, en ont appelé à la Commission européenne. Le ministre des Transports Pietro Lunardi a rencontré, le 25 mars, Loyola de Palacio, commissaire aux Transports, et Frits Bolkestein, son homologue chargé du marché intérieur. Il leur a demandé de contraindre la France à respecter ses engagements à savoir l'accueil de tous les poids lourds respectant les normes fixées dans la convention. A l'issue de la réunion, la Commission a adressé une « demande d'informations » aux autorités françaises qui ont cinq jours pour fournir leurs explications. Si ces dernières ne sont pas jugées convaincantes, Bruxelles décidera « s'il y a lieu ou non d'ouvrir un
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