C'est en ces termes laconiques que le groupe Mory a annoncé, le 8 juin, qu'il renonçait à participer au sauvetage de Synchrony Logistique. Cette opération devait passer par la présentation d'un plan commun de continuation de cette entreprise mise en redressement judiciaire le 2 avril par le tribunal de Commerce de Villefranche-sur-Saône (cf. L'OT 2118 et 2123). Le protocole d'accord, signé le 25 avril entre les deux entreprises, devait recevoir l'aval du tribunal de commerce de Villefranche-sur-Saône mais également celui des autorités boursières. Synchrony étant coté au second marché, sa prise de contrôle par Mory était contraire à la procédure d'offre publique d'achat prévue par la réglementation boursière et supposait d'être autorisée par le conseil des marchés financiers. Lequel a estimé être dans «l'impossibilité juridique» d'accorder une telle dérogation dans un communiqué publié le 12 ju
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