QUEL AVENIR POUR LE TRANSPORT ?

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Le développement de l’essence Douglaset du bois énergie sont une aubaine pour toute la filière bois. Mais la crise crée des tensions entre les donneurs d’ordre, qui réclament toujours plus de volumes et de longueurs, et les transporteurs qui peinent à rentabiliser leurs investissements dans les remorques et les grues.

De Gaulle et le Conseil national de la résistance n’ont pas seulement adopté une stratégie économique de long terme pour la SNCF, Renault ou Air France. La filière du bois récolte aujourd’hui les dividendes du « Fonds forestier national », qui au sortir de la guerre, a identifié le bois Douglas comme une essence d’avenir. Originaire du nord-ouest de l’Amérique, ce résineux a alors été implanté dans toutes les régions françaises, particulièrement en Bourgogne, Rhône-Alpes, Auvergne et Limousin. Il est maintenant arrivé à maturation. « On commence tout juste à le récolter mais il en reste plein sous le pied », se réjouit Nicolas Douzain, président de la Fédération nationale du bois (FNB), qui regroupe exploitants, scieurs et industriels. La production pourrait atteindre 6 millions de m3 en

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