Sur le port de Calais, les autorités britanniques ont décidé de renforcer leurs dispositifs de contrôle avant la fin septembre. La zone portuaire sera surveillée par deux officiers des services de l'immigration de sa gracieuse majesté et équipée de nouveaux détecteurs. Pour assurer le fonctionnement de ces appareils, c'est la CCI de Calais qui devra, à ses frais, mettre une cinquantaine d'agents à disposition. A l'origine de cette décision franco-britannique, un constat : sur les 2 500 poids lourds qui embarquent chaque jour, seuls 25 à 30 % sont contrôlés.
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