«Si les fédérations patronales refusent d'ouvrir le dialogue sur le 13e mois et ne nous donnent pas un signe fort dès le 31 octobre, lors de la réunion de la commission paritaire, nous quitterons les négociations », prévient Joël Le Coq, secrétaire général de la FGTE-CFDT (Fédération générale des Transports et de l'Équipement). « La journée du 28 octobre n'était qu'un avertissement au patronat. Nous sommes prêts à durcir le mouvement et entamer, si besoin, une action à durée indéterminée avant la fin du mois de novembre », ajoute Jean-Pierre Rémy, responsable de l'action revendicative et négociateur social. Dans cette hypothèse, la CFDT demanderait à rencontrer les autres organisations représentatives des sa
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