Grèves portuaires : le risque d’une perte durable de flux vers d’autres ports européens

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Crédit photo Haropa Port, Samuel Salamagnon
L’exaspération est à son comble sur les quais de Marseille-Fos et du Havre avec un nouvel arrêt de travail de 48 heures les 26 et 27 février. La Fédération Nationale des Ports et Docks C.G.T promet une paralysie totale. Les terminaux sont saturés et les transporteurs routiers désorganisés.

Ce qui devait être une série de débrayages ponctuels s’est transformé en un bras de fer prolongé sur le sujet de la retraite. Après avoir imposé des arrêts de quatre heures les 20, 24 et 28 février, la Fédération Nationale des Ports et Docks C.G.T. passe à la vitesse supérieure en appelant à deux journées complètes de grève les 26 et 27 février. Comble de la situation, durant les heures travaillées, les dockers sont en congés conduisant à une situation inextricable au niveau des opérations avec des capacités d’évacuation des conteneurs réduites et des terminaux saturés. Chaque mouvement social suit le même schéma : chaînes d’approvisionnement désorganisées, retards, surcoûts exponentiels et flux détournés vers d’autres ports européens. Cependant, au nord, la situation est tout auss

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