Publié le : Dernière Mise à jour : 22.08.2024Lecture : 5 min.
Aboutir à tout prix à un accord sur le travail de nuit ou abandonner les négociations ? Opposées sur la conduite à tenir après le rejet du protocole par les syndicats de salariés, les fédérations de transporteurs s'accordent un temps de réflexion. Cette position attentiste devrait peser sur les négociations salariales engagées le 27 juin. Une réunion que la partie patronale aborde pourtant avec une proposition commune : porter la revalorisation des minima conventionnels à 2 % en lieu et place des 1,3 % initialement décidés.
Combien les transporteurs routiers devront débourser pour la rémunération de leurs personnels travaillant de nuit et à compter de quelle date ? Ces questions ne devraient pas trouver réponse avant la mi-juillet, au mieux. La Fédération nationale des transporteurs routiers (FNTR), TLF (Fédération des entreprises de transport et logistique de France) et l'Unostra ont en effet décidé de s'accorder un temps de réflexion. Quelques semaines pour décider de la poursuite ou de l'arrêt des négociations sur le travail nocturne, suite au refus opposé par les syndicats de salariés à la signature du projet d'accord de bra
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