«Prêt à payer davantage pour être plus respectueux de l'environnement. Pour développer le réseau routier et l'utiliser. Pour plus de sécurité. Pour plus de progrès social. Et même pour financer des infrastructures alternatives à la route » ( ... ) « Demain, pour être « supporté », le transport routier devra dépenser davantage ». Ces propos sont ceux de René Petit, réélu le 26 septembre à la présidence de la Fédération nationale des transports routiers (FNTR) lors de son 56ème congrès. Fondé sur la nécessité de partager avec les autres modes la croissance « inéluctable » du trafic routier dans les dix prochaines années, ce discours rejoint dans ces grandes lignes l'analyse du Livre blanc adopté quelques jours auparavant par les commissaires européens. E
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