Adulé hier. Honni aujourd'hui. Au-delà des effets médiatiques, le e-commerce n'en continue pas moins son bonhomme de chemin. Et les débats sur les implications logistiques de ce développement sont toujours empreints d'inconnu et d'incertitude. Quelques vérités ont cependant été acquises. La première, c'est que les coûts logistiques du e-commerce, notamment en B to C ne sont pas aussi considérables que prévu. « Certes, un peu plus de la moitié du chiffre d'affaires du commerce électronique implique une prestation de logistique et de transport, constate Jean Gratadour, chargé de mission à l'Institut de recherche et de prospective postale (IREPP). Cela dit, la part du coût logistique sur le chiffre d'affaires global est en moyenne de 8 % dans la vente directe traditionnelle et de 10 à 12 % pour le commerce électronique ». De plus, les interconnexions entre qualité de la presta
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