Si, pour les agglomérations de 50 000 à 400 000 habitants tout va bien, les autres voient leur « qualité de service varier en fonction de la charge du réseau », indique la dernière enquête d'évaluation sur la couverture géographique et le niveau de qualité du réseau GSM (Global System Mobile) en France, menée par l'Autorité de Régulation des Télécommunications (ART). Ainsi, dans les 12 premières villes françaises, « le taux d'échec et de coupure peut être multiplié par deux, voire trois, selon les heures de la journée », note l'étude avant de modérer : « s'il varie d'environ 4 %, le taux de communications réussies et de qualité correct ne descend pas en dessous de 93 % ». Le hic, c'est que ce chiffre est un
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