«Chaque démarche est unique et la solution réside bien souvent dans la motivation de chacun. Toutefois, lorsque nous intervenons sur un projet, et après une première étude, nous proposons deux à trois structures de groupements maximum avant de retenir celle qui paraît la mieux adaptée » explique Dominique Malgras, délégué général d'Unicooptrans (Fédération nationale des coopératives et groupements du transport). « Dans un premier temps, je conseille souvent de commencer par créer des accords commerciaux entre les membres. Ce qui n'empêche absolument pas d'évoluer par la suite vers une SARL (société à responsabilité limitée, NDLR) ou même une société anonyme ». Pour Dominique Malgras, de bons accords commerciaux sont souvent préférables à des statuts plus rigides. Ces derniers étant parfois accompagnés de longs et coûteux procès..
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