La délocalisation des industries de main d'oeuvre françaises vers des zones à coût salariaux plus faibles se poursuit à un rythme accéléré depuis plusieurs années. Pays de l'ex-Urss d'un côté, Maroc et surtout Tunisie de l'autre, accueillent aujourd'hui de plus en plus d'ateliers qui n'ont plus de raison économique d'être chez nous. La proximité de la Tunisie, à juste un peu plus de 24 heures de mer des côtes françaises ou Italiennes, sa stabilité politique, ses infrastructures routières en constante amélioration, sa culture francophone et ses salaires très maîtrisés sont autant de sirènes qui attirent irrésistiblement les industriels européens en quête d'optimisation de production.
Les volumes d'échanges sont, de ce fait, en constante augmentation.
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