A partir du 5 août 2004, sur les véhicules de transport de marchandises de plus de 12 tonnes immatriculés après le 1er janvier 1996, le chronotachygraphe mécanique devra être remplacé par son pendant numérique s'il ne peut être réparé. Mais qui aura autorité en la matière ? Et sur quels critères ? Le réparateur agréé, à sa libre interprétation, semble-t-il. Conséquence : pour nombre d'observateurs, le principe du « remplacement » demeure flou. Volontairement peut être... Explications.
Sur l'aspect technique, d'abord. « On pourra toujours réparer un appareil mécanique tant que nous disposerons de pièces. Et pour l'instant, il n'est pas prévu d'arrêter leur fabrication, bien au contraire », remarque Gilles Baranger, directeur technique de Siemens VDO Trading. En effet, jusqu'à la date butoir d'août 2004, l'équipemen
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