Une ambiance plutôt morose

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Entre la saturation de ses infrastructures routières, la concurrence ibérique et le faible volume de fret à transporter, la situation économique du transport girondin reste préoccupante.

Accolée à la façade Atlantique, la Gironde ne peut prétendre être située au coeur de l'Europe, contrairement à bien d'autres départements qui ne s'en privent pas. Sa position de porte d'entrée vers la péninsule ibérique en fait pourtant une véritable terre de transit. Côté infrastructures routières, le département paraît, il est vrai, relativement gâté. Bordeaux, capitale régionale et pivot majeur du transport de marchandises en Gironde, est ainsi le point de départ et d'arrivée de quatre axes autoroutiers importants : l'A10 (vers Paris et l'Europe du Nord), l'A62 (vers Toulouse et Narbonne), l'A63 (vers Hendaye et l'Espagne) et l'A89 (actuellement en construction et qui reliera Bordeaux à Clermont-Ferrand et, au-delà, à Lyon et Genève). Mais aujourd'hui, les infrastructures routières girondines sont quasiment saturées même si, d'une part, le plus récent des franchissements de la Garonne (le pont François Mitterrand, à Bègles) a f

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