Venus d’Île-de-France, de Bourgogne, de Lyon, de Normandie ou encore du Nord-Pas-de-Calais, les délégués syndicaux du transport se sont levés tôt le 3 décembre pour défendre le CFA et leurs salaires. Il est 8h30 devant le siège de la CGT, rue de Paris à Montreuil. À quelques mètres aux abords d’un rond-point, un groupe CFTC descend du bus tandis que des délégués CFE-CGC attachent leur chasuble blanches. Dans le froid, gobelet de café et/ou cigarette à la main, environ 200 salariés attendent le départ du cortège. Réunis en intersyndicale, ils doivent se rendre au siège de Klésia situé à quelques centaines de mètres car c’est là que se joue l’avenir du congé de fin d’activité. Et ils comptent bien faire pression sur les négociations pour obtenir une revalorisation à 2,8 % du taux de cotisation au Fongecfa (voir L’OT 2715) et ainsi pérenniser cet acquis social. « Motivés,
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