JEAN SCHMITT : Nous pouvons dire que nous avons vécu une année particulièrement difficile en raison de l’environnement économique.Nous avons subi une pression extrêmement forte sur les prix, avec une multiplication croissante des appels d’offres.Cet ensemble a été aggravé par le facteur Ecotaxe.Cette question a troublé le jeu dans les négociations avec les clients au moment du relèvement annuel de nos prix.Rien que dans ma société (Ndlr, groupe Heppner), je peux dire que nous avons manqué un bon petit 1 %, ce qui est impactant pour une activité comme la nôtre.
J. S. : Certes, mais ils s’amplifient très sensiblement.Nous ne sommes pas dans une situation de statu quo.Je crois que ce phénomène va se poursuivre et qu’il va frapper durement les sociétés dont la messagerie reste l’activité principale.
J. S. : La défaillance de Mory Duc
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